Une actrice qui disparaît, c’est toujours une partie de notre passé qui s’efface quelque peu. Avec Mylène Demongeot, c’est une part de l’histoire du cinéma et de la bande dessinée qui, tout au contraire, me revient en mémoire.
J’ai eu le plaisir, il n’y a pas d’autre mot, de la rencontrer, il y a sept ans…
C’était à l’occasion de l’adaptation d’un de ses livres par Claire Bouilhac et Catel Muller, « Adieu Kharkov ».
Un nom de ville qui, aujourd’hui, résonne très différemment…
Je me souviens parfaitement de notre rencontre. J’étais intimidé de me retrouver en face de cette comédienne qui avait été aussi la belle-fille de Georges Simenon. J’avais peur de faire face à une icône… Il n’en a rien été… Mylène Demongeot, en compagnie des deux autrices de la bd, a été d’une gentillesse exceptionnelle, sans apprêt, d’une simplicité souriante.
J’avais fait de cette rencontre une chronique, avec plusieurs sons de Mylène Demongeot, pour le site culturel de la rtbf.
Je vous en communique ici le lien. Malheureusement, pour des raisons qui me sont inconnues, les sons ont disparu de ma chronique…
Mais je tenais, malgré tout, à lui rendre hommage et, au-delà de tous les au-delà, à la remercier pour cette rencontre… « Adieu Kharkov », adieu madame Demongeot…
Jacques et Josiane Schraûwen
C’était une grande Dame et une bonne actrice j ‘ai aimée ses films ,Reposer en Paix Madame
J’aimais beaucoup cette actrice.